Le combat quotidien contre l’arthrose :
L’histoire de Jocelyne
En cette Journée Mondiale de l’Arthrose, nous partageons l’histoire de Jocelyne, une infirmière de 58 ans travaillant dans un établissement pénitentiaire. Son témoignage illustre les défis auxquels des millions de personnes font face quotidiennement, soulignant l’importance cruciale de cette journée de sensibilisation.
Le début d’un long combat
« L’arthrose du genou a commencé à m’affecter vers 40-45 ans, » explique Jocelyne. Malgré une opération du genou à 18 ans, ce n’est qu’à la quarantaine que la douleur est devenue vraiment handicapante.
Pour Jocelyne, l’arthrose signifie bien plus que des douleurs articulaires :
- Des limitations dans les activités quotidiennes : « Ne plus pouvoir faire une longue promenade pour promener le chien. »
- Des restrictions dans les loisirs : « J’aimerais visiter un musée, mais je dois me limiter et choisir ce que je vais voir. »
- L’abandon de projets de vie : « J’adorerais faire un voyage extraordinaire, mais ce n’est plus possible. »
- Des difficultés dans les tâches ménagères : « Faire le ménage, ramasser quelque chose par terre, faire la vaisselle. La vie quotidienne est vraiment impactée. »
« Il y a vraiment beaucoup de stress sur l’articulation, particulièrement le genou, » souligne-t-elle.
L’espoir dans l’innovation
Cette histoire met en lumière des patients comme Jocelyne, dont les cas complexes d’arthrose du genou soulignent le besoin crucial de traitements innovants.
Le parcours de Jocelyne à travers les traitements traditionnels illustre les frustrations que rencontrent de nombreux patients atteints d’arthrose réfractaire :
« J’ai suivi le parcours sans doute classique de traitement : les anti-inflammatoires, puis les séances de kinésithérapie, la glace sur le genou, les ondes de choc… Personnellement, comme je ne voyais pas de solution à long terme dans tout ça, je me suis aussi jetée dans ce qu’on pourrait appeler les médecines parallèles : l’homéopathie, j’ai aussi essayé l’acupuncture, et elles ont effectivement donné des résultats au niveau de la douleur, mais qui restaient quand même éphémères. »
Malgré ces défis, Jocelyne reste déterminée. « J’avais vraiment besoin de trouver une solution, » dit-elle. Son témoignage résonne particulièrement en cette Journée Mondiale de l’Arthrose.
Le 17 septembre, nous nous joindrons à la communauté mondiale pour :
- Sensibiliser le public aux réalités de l’arthrose
- Mettre en lumière les besoins non satisfaits des patients
- Présenter les dernières avancées en matière de recherche et d’innovation
Chez KiOmed Pharma, nous croyons que chaque témoignage comme celui de Jocelyne est un appel à l’action. Notre mission pour cette Journée Mondiale de l’Arthrose et au-delà est claire : apporter l’innovation aux patients ayant des besoins non satisfaits en réduisant les fardeaux physiques et sociaux de l’arthrose.